Archives de l’auteur: Mohamed Salah Ben Amor

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Les archives des commentaires poétiques de Mohamed Salah Ben Amor (1) :les poèmes de Jocelyne Mouriesse: 1-1 – Monts cotonniers

  Monts cotonniers   L’aire de rien L’air fragile Eau perchée L’air futile Morne halo Versatile Où le vent emportera t’il Les élans de mon cotonnier ? Me voici confronté à l’un  des mini-poèmes de notre amie la poétesse de l’autre bout du monde .Et cette perspective  en soi me rappelle quelque peu le premier jour où je fis mon ... Lire la suite »

Co-errance par : Mokhtar El Amraoui-Mateur –Tunisie

Co-errance vers nulle part, Loin des extases ensevelies. Avec pour théorie Cette mèche de barde épileptique Qui se mure, Dans les miroirs gris de l’absence. Ma théorie C’est tes seins, aquagenèse du râle debout. Ma théorie La rencontre de nos absences, Dans les cerceaux enflammés De nos rites de mésanges. Ma théorie C’est ta pratique Dans tes printemps de coquelicot. ... Lire la suite »

Mes souvenirs avec le grand historien de la littérature tunisienne Aboulkacem Mohamed Kirrou (3)

  J’ai mentionné dans mon article précédent que j’avais presque coupé toute relation avec la littérature tunisienne entre le jeudi noir  26 janvier 1978 et « la révolution du pain » qui avait éclaté le 3 janvier 1984 et que mes seules activités littéraires au cours de cette période étaient ma participation à deux colloques sur l’instigation d’Aboulkacem Mohamed Kerrou : le premier ... Lire la suite »

Quand je chante par : Mouina El Achari ( interprétation de la chanson de la libanaise Rima Khacheich حين أغني / ريما خشيش)

  Parce que je suis l’ombre de mes chants Je chante. Quand j’ai crié « je t’aime » Je chantais. Quand tu as chuchoté « je t’aime » Je chantais. Quand nous sommes nés, Quand nous avons aimé Passionnément puis nous nous sommes séparés, Quand nous avons dérobé La tenue de l’enfance, Je chantais…Je chantais …Je chantais. Parce que tu es la mélodie de ... Lire la suite »

Mes souvenirs avec le grand historien de la littérature tunisienne feu Aboulkacem Mohamed Kirrou (2)

Après la terrible journée sanglante du jeudi 26 janvier 1978, cette journée inoubliable que j’avais passée à Tunis et au cours de laquelle la police et l’armée avaient tiré sur les manifestants faisant plus de 400 victimes, j’avais décidé de ne plus m’occuper de la littérature tunisienne, car le choc était terrible, étant donné que  je n’avais jamais imaginé que ... Lire la suite »