Les entretiens de « Culminances » (2ème série) :4 –Avec le poète français Rémy Ducassé :

Rémy Ducassé

Rémy Ducassé dont le prénom « Rémy » signifie en langue « Franque » celui qui guérit et le nom Ducassé veut dire en langue « Occitane » le Chêne (Lou Casse) est né  le 15 Août 1951 à Castres dans le département du Tarn (81) en France .Il a fait ses études au Collège Technique de La Borde Basse à Castres où il a obtenu  un BEP (Brevet Etudes Professionnelles) en dessin  de Bâtiment. Il a occupé  plusieurs emplois dans  différents secteurs .Poète prolifique, il écrit sans relâche depuis 1973. Ses poèmes laissent entrevoir un esprit satirique acerbe et un grand attachement  aux idéaux humanistes et pacifiques.

Il a à son actif un recueil de poésie intitulé L’amour de la vie  paru en 2007  aux Editions Persée à Paris .

 

 

Question 1 : Votre écriture aussi bien poétique que prosaïque laisse entrevoir un esprit critique acerbe que certains qualifient d’agressif.  Pensez-vous que ce style peut vraiment apporter aux lecteurs quelque chose de positif et de constructif ?

Rémy Ducassé :Tout d’abord, je voudrais vous dire que seulement certains de mes écrits sont critiques et peuvent ainsi être qualifiés d’agressifs. Il y en a beaucoup qui expriment tellement plus ce qui me constitue avant toute chose : le désir profond de Paix et de Douceur. Il y en a beaucoup selon ma vision, c’est vrai qui expriment un certain désarroi face au monde dans lequel je me trouve. S’il est vrai que la colère n’est pas bonne conseillère, alors oui sans doute, je n’apporte pas quelque chose de constructif à travers mes textes. Pourtant, il est nécessaire à tout un chacun d’avoir la conscience réveillée, moi le premier. Surtout en ce moment avec tous ce qui se passe dans le monde, avec toutes ces tentations de repliement sur soi. A ce propos j’ai toujours été depuis ma jeunesse militante un « internationaliste » convaincu. Cette agressivité dans mes textes dont vous parlez, on la trouve plus dans d’ailleurs dans les poèmes en vers libres, que dans mes textes en prose (courtes nouvelles, ou contes pseudos philosophiques, ou contes pour enfants). Pour clore sur ce point je dirai qu’en règle générale, je ne calcule pas à l’avance la nature de mes écrits et leur impact sur mes lecteurs. Je craindrais trop si j’agissais ainsi d’y perdre un peu de ma spontanéité et de mon âme.  Au plus profond de moi-même, je suis non-violent, je déteste la souffrance physique et mentale. Sans doute parce que je les ai côtoyés durant toute ma vie. Je n’en dirai pas plus à ce sujet, car ce qui est passé est passé et il y a des blessures qu’il vaut mieux ne pas toucher.

 

Question 2 : Vous êtes du sud de la France (Un tarnais) mais vous avez préféré vous installer d’une façon continue en Corse ? Pourquoi ce choix ? Et êtes-vous bien intégré dans le milieu littéraire corsais qui est sans doute très spécifique par rapport à ceux du reste du pays ?

Rémy Ducassé :Vous avez raison de préciser mes origines de naissance. En effet le Tarn est un département très marqué par le monde ouvrier. La mine à Carmaux, le textile et les filatures à Castres, la mégisserie à Mazamet et Graulhet. Vous savez le hasard de la vie m’a fait naître à une rue de la maison natale de Jean Jaurès. Si ce n’est pas que cette filiation intellectuelle qui a déterminé mon attachement à la classe ouvrière, il n’en demeure pas moins que je suis admiratif de ce très grand personnage de notre histoire. Plusieurs personnes de ma famille ont été ouvriers et ouvrières – mon père, ma mère, ma grand-mère maternelle et bien d’autres encore de cette industrie.  Mon installation en Corse n’est pas très ancienne : douze années, c’est court. Ce sont là encore les hasards de l’existence qui m’ont conduit jusqu’ici. D’abord le hasard qui y a conduit mon fils unique. Puisqu’en quelque sorte il aura été sans s’en douter mon ambassadeur. Il a épousé une femme Corse de vieille souche et ils m’ont donné deux très beaux petits enfants. C’est pour eux, pour pouvoir les voir grandir qu’en 2007, j’ai décidé de m’installer ici en Balagne. Je suis divorcé et je n’ai pas vu grandir mon fils (ou du moins pas comme je l’aurai voulu).

Je ne suis pas bien intégré dans le milieu littéraire corsais, parce que je ne l’ai pas vraiment désiré. Je le suis beaucoup mieux dans le milieu musical. D’abord à travers mon dernier emploi (avant ma prise de retraite) où j’ai été secrétaire gestionnaire de l’école de musique de Calvi pendant trois ans. Cela m’a ainsi ouvert des portes dans ce milieu. Notamment dans le milieu des polyphonies. Ensuite j’ai accepté de rejoindre comme bénévole l’équipe d’animation du Festival des « Rencontres de Musiques classiques et contemporaines » de Calenzana. A travers mon appartenance à un ordre de réflexions philosophiques, et aussi par mon réseau personnel sur Facebook et d’autres sites de lecteurs, je suis en relation avec des poètes et des auteurs locaux.

Les auteurs locaux contemporains sont naturellement très attachés à l’histoire de leur île. Mais ils ont aussi des préoccupations quant à l’avenir économique et politique de celle-ci.

 
Question 3 : Vous vivez dans une île où domine une tendance franchement séparatiste. Ce sentiment environnant exerce-t-il sur vous des pressions quelconques au moment de l’écriture puisque vous êtes quand même issu du continent ?

Rémy Ducassé :Vous savez si effectivement beaucoup de Corses de souche, votent Nationalistes, il y a aussi ceux qui ne déterminent pas de cette manière. De plus en plus, il y a des Corses qui ouvrent les yeux sur certaines pratiques (inspirées par les vieux démons mafieux), et cela se traduit par une plus grande soif de justice sociale et de transparence dans les marchés entrepreneuriaux. Mais le silence des armes est vraiment quelque chose de fragile. De plus en plus de Corses (avec beaucoup de femmes parmi eux) sont de plus en plus sensibles à l’aspect écologique de la politique de développement de l’île. Nous ne voulons pas devenir un parc d’attractions pour des visiteurs (touristes éphémères conquérants). D’abord parce que nous n’avons pas la capacité de les accueillir sur les courtes périodes estivales (4 mois par an), et que cela ne fait vivre au-dessus des normes de revenus (minima sociaux) qu’une extrême minorité, qui s’enrichit au détriment de la grande masse des habitants.

Les terres qui sont vendues aux promoteurs ne le sont pas majoritairement par des continentaux venus s’installer dans l’île, ou par des Corses revenus à l’âge de la retraite.

Il faut donc bien des Corses résidents permanents pour vendre la Corse au plus offrant.

Cette situation me rappelle à bien des égard l’histoire du littoral nord méditerranéen des années 1970, autour des métropoles de Montpellier et Nîmes. En ce temps-là, on a beaucoup bétonné, mais pas seulement pour recevoir les touristes « parisiens » ; il a fallu héberger les rapatriés des pays du Maghreb (Algérie – Maroc – Tunisie). Ce n’était que le revers de la médaille de la colonisation, il fallait bien l’assumer, et j’approuve totalement ce qui a été fait.

Tout ceci pour dire que du sud de la France, à la Corse il n’y a pas beaucoup de différence. Les mêmes difficultés d’intégration des rapatriés se sont faites ressentir en Corse, avec une différence de taille, c’est qu’en Corse ils avaient les moyens d’acheter les terres. Et qu’acheter des terres appartenant de manière ancestrale à des autochtones dans une île, c’est bien plus difficile que partout ailleurs sur terre.

Le sentiment séparatiste dont vous parlez se traduit dans les urnes, mais il n’est pas le fruit d’une pensée totalement homogène. Il y a des tendances dures, d’autres plus tolérantes. D’ailleurs, je ne crois pas qu’une idée quelle qu’elle soit, ne puisse jamais faire l’unanimité dans ce bas monde. Et c’est tant mieux.

Je prouve dans mes propos que je ne subis aucune pression de quiconque.

 

Question 4 : L’authenticité de tout acte d’écriture littéraire exige de l’auteur un enracinement dans le milieu où il vit. Il exige de lui aussi de puiser essentiellement ses sujets dans ce même lieu. En êtes-vous conscient ? Et dans quelle mesure, ces règles générales s’appliquent-elles à vous ?

Rémy Ducassé :Au début de ma présence ici en Balagne (en particulier) j’étais extrêmement sensible aux paysages que je voyais se dérouler quotidiennement sous mes yeux (sur les trajets qui me conduisaient de chez moi à mon travail, ou de chez moi à chez la famille de mon fils). Je montais très souvent dans une chapelle de montagne baptisée Notre Dame de la Serra. Sans être croyant, j’aime beaucoup cet endroit isolé et solitaire, qui inspire à la réflexion, à la méditation. Un jour dans le tiroir d’un meuble à l’École de musique j’ai trouvé une vieille photo, d’un portrait d’une vieille femme qui me rappelle ma grand-mère maternelle Célina. Cela m’a inspiré une nouvelle : « Le voyage de Savéria Orsini ».

Beaucoup de poèmes que j’ai écrit, m’ont été inspirés par les paysages aussi bien de montagnes que la vue de la mer. Les couleurs du ciel qui se reflète dans l’eau de la méditerranée sont quelque chose d’essentiel à ma vie depuis que j’habite ici. Plusieurs poèmes m’ont été inspirés également par un ami (que dis-je un Frère d’esprit) qui fait acte artistique en sculptant le bois et la pierre).


Question 5 : Dans un bon nombre de vos poèmes, vous abordez les grandes causes universalistes (paix – entente – entraide – amitié – tolérance- humanisme…). Ne pensez-vous pas que l’universalisme n’est en fin de compte qu’un idéalisme abstrait et qu’il n’a aucune chance de triompher un jour ?

Rémy Ducassé :Je sais bien que nous n’allons pas bouleverser le contexte géopolitique de la zone sud autour de la mer méditerranée. Mais je pense que nos « petits poèmes » des uns et des autres sont autant de gouttes d’eau (les mêmes que celles que jette sur l’incendie de la forêt le petit colibri de la légende). Et tant pis si je suis perçu comme un fou idéaliste par certains de mes lecteurs.

Jai toujours été du côté de cette pensée Universaliste. Une idée de l’Universalisme qui n’exclura pas l’aspect très fort d’une responsabilisation humaine par l’implication des individus localement. Il nous faudra un jour sous peine de grand problèmes aussi bien écologiques, qu’économiques et politique, renoncer totalement au consumérisme destructeur aussi bien pour nous que pour notre environnement.

Il va falloir cesser de déléguer nos pouvoirs individuels à des individus soi-disant ultra-compétents et indispensables dans le fonctionnement d’une société. Plus une société accepte une répartition le plus large possible des responsabilités, parmi ceux qui la constituent, plus la répartition des richesses produites peut être équitable. Moins la corruption des élites si criante aujourd’hui, sera le poison des démocraties. Et ainsi les démocraties anciennes et les plus dignes de ce qualificatif pourront servir d’exemples.

Je crois « dur comme fer » à l’exemple donné par les élites et qui viennent entraîner la moralisation des sociétés ou de quelques structures humaines qu’elles quelles soient.

J’ai toujours pensé que si davantage d’individus autour de moi, prennent leur part de responsabilités dans la « marche de la cité », le poids de cette charge sera moins lourd pour moi.

D’autre part si aujourd’hui je n’exerce plus de responsabilités syndicales, politiques, lorsque j’en avait dans le passé, je souhaitai faire l’objet de contrôles de la part de celles et ceux qui m’entouraient. Nul n’est exempt de tomber dans une mégalomanie qui le coupe du reste du monde.

 

Question 6 : A part un seul poème que vous aviez dédié à votre épouse, le sentiment amoureux semble absent dans votre poésie. Pensez-vous que ce sentiment n’est pas assez riche pour vous inspirer ?

Rémy Ducassé :Comme dans ma première réponse à votre questionnement, je vous dirais qu’il n’y a pas qu’un seul poème dédié à mon épouse.

Je ne vais pas ici en faire la liste. Ce n’est pas par une espèce de fausse modestie. Mais je tiens à préciser que Patricia ma chère et tendre épouse n’aime pas beaucoup que je parle d’elle. Pourtant elle le mérite et sa vie encore plus qu’elle, largement au-delà de ma propre histoire.

Je me suis efforcé d’être totalement respectueux de cette pudeur qui la définie si bien.
Question 7 : La Corse a inspiré à Prosper Mérimée deux bels ouvrages pétillant d’authenticité : Colomba et Carmen. L’idée de faire comme lui ne vous a-t-elle pas tentée ? Pourquoi ?

Rémy Ducassé :J’ai écrit une nouvelle, qui raconte l’histoire d’une « Femme forte », qui a tout donné à son époux et à ses enfants, durant toute sa vie. Je l’ai décrite comme quelqu’un de simple, avec un bagage d’instruction des plus simples, mais celui-ci lui ayant permis d’affronter les aléas de la vie de manière très courageuse. Mon histoire je l’ai située à la fin du dix-neuvième siècle, dans cette microrégion de Balagne que j’affectionne particulièrement.

C’est un travail que je dois reprendre pour essayer de l’étoffer un peu afin qu’il soit plus crédible et susceptible d’être accepté par un éditeur. Cette « femme forte » m’a été inspirée par ma grand-mère maternelle, qui a eu un seul enfant (ma mère), l’a élevée toute seule et a été rejetée par toute sa famille, parce qu’en 1923, être une « fille mère », ce n’était pas bien vu. Surtout dans une famille de moyenne bourgeoisie protestante. Ma grand-mère était une femme pour qui le monde semblait être totalement neuf, chaque matin où elle se levait.

Je l’ai beaucoup aimé. Et c’est pour cela que j’ai voulu ainsi lui rendre hommage.

 

Question 8 : Lisez-vous les poèmes arabes que je traduis fréquemment en langue française ? Si oui, les trouvez-vous différents ou non des poèmes qu’écrivent les poètes occidentaux ?

Rémy Ducassé :La conscience de l’appartenance à un bassin constitué par la mer méditerranée et les pays du nord du continent africain est très forte. Je suis également très sensible à la nécessité de construire des liens- ponts avec les pays du Maghreb. J’ai d’ailleurs écrit un poème « Poésie pont par-dessus le berceau bleu » avec Fatima Maaouia poétesse Algéro/Tunisienne, dont j’admire énormément le travail.

J’échange aussi beaucoup avec Abdelghani Rahmani (poète algérien). Je me félicite de constater chaque jour qu’il y a dans le monde arabe, de plus en plus de femmes qui écrivent et sont publiées. Je trouve cependant que les thèmes abordés par nombre de poètes que vous traduisez, ne reflètent pas tellement, ni l’histoire de votre civilisation, ni l’état actuel de la situation économique et politique des pays du Maghreb ; à part peut-être dans les poèmes de Fatima Maaouia.

Les poèmes des femmes poètes que vous traduisez évoquent souvent les sentiments amoureux et leur désirs profonds, sincères d’émancipation de la domination masculine. C’est ainsi que je vois la poésie des femmes arabes. C’est néanmoins un pas sérieux pour l’avancée démocratique dans ces pays de la rive sud de la méditerranée.

 

Question 9 : Le facebook vous rend-t-il vraiment service en tant que poète et y remarquez-vous des inconvénients quelconques ?

Rémy Ducassé :Cher Mohamed Salah Ben Amor récemment vous avez publié sur la page Facebook des Éditions Ichrak un court article en date du 15 Décembre dernier qui disait ceci, je vous cite :

« Il s’est avéré aujourd’hui que les efforts qui ont été déployés par les états arabes depuis leur indépendance pour le développement de leurs pays étaient très insuffisants, car les quatre plus grands maux dont pâtit le monde arabe, à savoir le tribalisme, le communautarisme, le régionalisme et l’analphabétisme persistent encore et entravent tout projet ou plan de développement économique et social , ce qui explique, en grand partie, que tout mouvement contestataire ou soulèvement populaire dans le monde arabe aboutit soit à une guerre civile armée soit une guerre civile verbale (comme c’est le cas en Tunisie) avec toutes les conséquences graves qui s’ensuivent et surtout l’anarchie et la dégradation économique et sociale ».

Vous ne vous classez pas en tant que poète, mais dans ces propos, vous semblez exprimer un sentiment de profond « ras-le-bol » pour parler populairement. Ce genre de sentiment de lassitude, certains poètes d’ici l’éprouvent aussi.

Je crois, enfin j’espère, qu’un certain réveil des intellectuels, écrivains et poètes des deux rives (nord et sud) de la méditerranée va enfin se produire et converger l’un vers l’autre, puis sur une même ligne de front, car je crois que toutes les avancées de l’Humanité se sont faites depuis la nuit des temps en progressant les uns à côté des autres. Pas dans un cortège en file indienne. Je l’appelle de tous mes vœux aussi sur la rive nord. Quand je parle de ligne de front, je ne fais pas référence à un front de guerre. Mais à une avancée où les humains s’entraînent les uns les autres vers le haut. Quand l’un tombe, il y en a toujours un à ses côtés pour l’aider à se relever et repartir sur son chemin.

Facebook m’est très sincèrement utile à travers toutes vos publications (celles qui nous honorent – mais aussi et surtout celles qui honorent les écrits historiques et contemporains des pays arabes. Sans vous qui m’avez repéré il y a maintenant plusieurs années, je n’aurais jamais connu une certaine reconnaissance par mes pairs aussi bien, ceux de la rive nord, que ceux de la rive sud et des autres pays arabes. Je vous serais toujours extrêmement reconnaissant de cela.

Pourtant il y a un inconvénient majeur à Facebook, c’est la fugacité et la rapidité des publications. Le partage ou l’information chasse bien vite le précédent. Personnellement, il m’arrive de faire des copié-collé des textes pour avoir la possibilité d’y revenir. D’autre part j’essaye de limiter quotidiennement mes publications. Et puis j’ai aujourd’hui mon Blog. Et là c’est moi qui maîtrise la fréquence de mes publications.

 

Question  10 : Quels sont vos projets proches et lointains ?

Rémy Ducassé :Tout d’abord, c’est de rester en bonne santé, et de veiller le plus longtemps possible sur celle-ci. J’ai eu toujours des problèmes de ce côté-là. Deux mille dix neuf a été une année difficile pour moi.

Heureusement je suis très bien entouré, à la fois par mon épouse, ma famille très proche et de grands amis plus que fidèles.

Ensuite je souhaite comme je l’ai déjà évoqué plus haut revoir l’écriture de ma nouvelle (en étoffant mes personnages, en renforçant le contexte historique) afin de lui donner une plus grande crédibilité. Et peut-être parvenir à la faire publier.

Dans un avenir plus lointain je souhaiterai également reprendre l’écriture de mes « Déclinaisons pseudo philosophiques » même si je n’en suis pas à l’idée d’une édition de celles-ci.

Voilà je vous souhaite très fraternellement, à toutes et à tous, une très bonne année deux mille vingt, et plein de bonheur à vos lecteurs ;

Du fond du cœur un immense merci à Toi Mohamed Salah Ben Amor. Vive la Vie et Vive Toi et Toi.

 

 

 

 

Répondre

Votre adresse email ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont marqués d'une étoile *

*