Il est inconvenant pour les critiques de se ruer sur l’œuvre d’un mort après l’avoir ignoré de son vivant par :Mohamed Salah Ben Amor

 

Quatre-vingt-dix-neuf pour cent des poètes et des écrivains sur lesquels ont porté mes études critiques étaient vivants et bien pourvus au moment où j’avais écrit  sur eux et le un pour cent restant concerne des auteurs qui avaient vécu à une période éloignée, car j’ai toujours eu la conviction qu’il est inconvenant pour les critiques de se ruer sur l’œuvre d’un mort après l’avoir ignoré de son vivant.

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