Le troisième colloque de la maison Ichraq éditions et la revue « Culminances » qui s’est tenu le samedi 4 janvier 2020 au club des anciens élèves de l’école Sadiki sis au 13 rue Dar el Jild –la Kasba – Tunis sur le poète Jaafar Majed par les photos

La séance inaugurale a été présidée par Monsieur Chedly Ben Yaouse le vice-vice président de l’Association des anciens élèves de l’école Sadiki .Et il présenté dans son allocation un témoignage sur les querelles entre Jaafar Majed et les  poètes de la poésie ni verticale ni libre à la fin des années 60.

Le colloque de la maison Ichraq éditions et de la revue « Culminances » sur le poète feu Jaafar Majed a atteint ses principaux objectifs

Le troisième colloque de la maison Ichraq éditions et la revue « Culminances » qui s’est tenu aujourd’hui le samedi 4 janvier 2020 au club des anciens élèves de l’école Sadiki sis au 13 rue Dar el Jild –la Kasba – Tunis sur le thème « Jaafar Majed poète et prosateur artistique » a tenu toutes ses promesses, parce qu’il a atteint ses principaux objectifs qui sont au nombre de trois :primo : ne pas laisser un évènement littéraire aussi important que le dixième anniversaire du décès du grand poète tunisien Jaafar Majed passer inaperçu, car le livre qui regroupera les travaux de ce colloque en constituera une trace à jamais ineffaçable ,deuxio : les huit interventions qui y ont été présentées ont été d’un haut niveau littéraire parce les conférenciers ont été choisis en fonction de leur connaissance du sujet qu’ils ont à traiter, ainsi que les poèmes qui y ont été déclamés et qui avaient été écrits spécialement pour ce colloque tertio : le respect de la périodicité de ce colloque annuel (qui se tient à la fin de la première semaine de chaque nouvelle année) pour la troisième année consécutive sans le soutien du ministère de la culture montre qu’il a confirmé par ses propres moyens sa place parmi les grands événements littéraires du pays , non par son apparat factice et le vacarme qu’il produit mais par son effet et sa valeur épistémiques .

Nous avons été très heureux d’accueillir au colloque d’Ichraq éditions et la revue »Culminances » sur le poète feu Jaafar Majed son épouse  Madame Jaafar Majed,           son fils cadet  et son petit fil, s en plus de son fils aîné le poète Moez qui a présenté un  excellent témoignage sur sa relation humaine et poétique avec son père.

La poétesse tunisienne Zouhour El Arbi a participé au colloque sur le poète tunisien feu Jaafar Majed  par un nouveau poème intitulé Chapitre du fascicule  l’errance qu’elle a écrit spécialement pour cette rencontre et que nous traduirons et publierons dans les deux langues ultérieurement. Ce poème admirablement déclamé par son auteure  a  été bien accueilli par l’assistance !

Le poème déclamé par la poétesse Saloua Rabhi qu’elle a écrit aussi spécialement pour cette rencontre et qui sera traduit et publié un peu plus tard, a été bien reçu par le public présent  grâce  à la finesse avec laquelle il a été conçu et déclamé

Parmi les figures lumineuses dont l’image s’est gravée  dans notre mémoire collective, le sympathique monsieur Ahmed Jellid , le fonctionnaire très serviable  à la section des périodiques la bibliothèque nationale de Tunis  où il a travaillé durant de longues années  et  où il était toujours présent pendant de longues années et prêt à tout moment  à nous apporter les vieux journaux et les revues que nous demandions. Il n’était pas seulement  accueillant et attentionné mais aussi doté d’une vaste culture et d’une  connaissance précise des périodiques arabes et étrangers.

Le samedi dernier le 4 janvier 2020, il nous a honorés de sa présence au troisième colloque de la maison Ichraq éditions et la revue « Culminances » sur le poète feu Jaafar Majed.

Qu’il soit chaleureusement remercié !

Parmi les figures culturelles les plus distinguées qui nous ont honorés de leur présence au troisième colloque de la maison Ichraq éditions et la revue »Culminances » , M, Abdelwahab Dakhli que nous avions côtoyé pendant plusieurs années au palais « beit el Hikma » à Carthage dont il était le secrétaire général puis pendant une bonne période à la direction des lettres dont il était le directeur puis au sein du comité de rédaction de la revue « Espace du savoir » de Jaafar Majed après son décès quand elle reparut sous la direction de son fils Moez .
Aujurd’hui et depuis quelques années, Abdelwahab Dakhli continue à servir la culture du pays en s’occupant de la revue « Assadikiyya » (L’école sadiki ) malgré les difficul tés financières dans laquelle elle se débat .

Le critique Mohamed Ben Rejeb, détenteur du prix national de la critique, faisait partie du comité de la recherche en littérature tunisienne dont j’étais le coordinateur de 1987 à 2003  et qui s’était spécialisé dans l’organisation de colloques en l’hommage des grands écrivains et chercheurs tunisiens et avait mené ses activités  pendant 16 ans entre « Beit –el Hikma » le siège de l’académie des sciences, des lettres et des arts à Carthage, le club des anciens élèves de l’école Sadiki  à Tunis et et le palais essaada à la Marsa.Ben Rjeb avait participé à des colloques qui s’étaient tenus dans le dernier espace cité.

Avant-hier, il nous a honoré de sa présence au colloque d’Ichraq éditions et de la revue « Culminances » qu’il avait suivi du début jusqu’à la fin .Et à cette occasion, nous avons évoqué ensemble ce travail en commun et il a promis de participer à nos prochains colloques. Qu’il soit le bienvenu !

Nos salutations au poète journaliste et syndicaliste Mohamed Hédi Oueslaty pour sa présence à notre colloque sur Jaafar Majed en vue de le couvrir pour son journal.

Nous avons été honorés au colloque sur Jaafar Majed par la présence de la talentueuse poétesse tunisienne Huda Daghari .Nous l’en remercions !

Parmi les intellectuels qui nous ont honorés de leur présence le braillant historien tunisien Khemais Arfaoui qui était l’un des membres du comité de recherche en littérature tunisienne qui avait organisé plus de vingt colloques d’hommage entre 1987 et 2003.Et il a promis de participer à tout travail ayant un lien avec l’histoire de la Tunisie.

Le poète et journaliste Hédi Jaballa a déclamé un poème puis s’est concentré sur les interventions  afin de bien couvrir le colloque pour son journal.

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