Archives de l’auteur: Mohamed Salah Ben Amor

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Les archives des commentaires poétiques de Mohamed Salah Ben Amor :34–Les poèmes de Marie Funck:34-2:Les muses du Poète

  Les muses du Poète orientent Ce qui fut, ce qui est, ce qui sera. La plume glissant, elles contemplent Le tracé de l’évolution des volutes ici-bas.   Infiltrant les âmes esseulées, Elles conservent une part damnée, Celle qui vous donne à rêver Pour ce chemin de liberté.   De la joie dans une musique douce Elles vous hypnotisent sans ... Lire la suite »

Les archives des commentaires poétiques de Mohamed Salah Ben Amor :33–Les poèmes de Patrice Merelle:33-3: Lumière, tu es lumière, lumière tu seras lumière ! ô lumière !!!Lumière intérieure

  Elle est là, présente, onirique et brûlante, Je l’ai reçu à la naissance si tentante, Et contre toute attente, elle m’a comblée Par sa présence, ma lumière intérieure. Dans des moments de solitude ou par habitude Je l’ai sentie en mon âme dans des moments rudes, Comme un bienfait, comme un amour et sa beauté, Elle a envahi chaque ... Lire la suite »

Les archives des commentaires poétiques de Mohamed Salah Ben Amor :34–Les poèmes de Marie Funck:34-1: Levée de plumes

  Des cieux sans couleur Par les désordres semés de la peur. C’est une insensible vie Que cette tragédie, Le bruit des fusils, Des rêves détruits, Des poussières d’êtres humains Nous manqueront pour demain. Stop ! Halte ! Soyons les gardiens de la paix Par nos textes déployés. Hissons haut nos mots Pour que vivent nos idéaux. Gravons dans la ... Lire la suite »

Les archives des commentaires poétiques de Mohamed Salah Ben Amor :33–Les poèmes de Patrice Merelle:33-2: Paris, la nuit,

  Où vont les sveltes silhouettes Que la nuit secrète entraine ? Vaquez ! Œuvrez à l’œuvre incomplète De cette vie qui nous emmène Jusqu’au prochain arrêt définitif. J’entends les lents freins d’un tramway, Siffler dans l’air, comme du temps passé, Et je contemple les chevaux de passage, Qui me transportent pour un autre voyage, Jusqu’au prochain arrêt définitif. Paris, ... Lire la suite »

Les archives des commentaires poétiques de Mohamed Salah Ben Amor :31–Les poèmes de Didier Hippon: 31-17 :Mon essentiel

  Ce que  J’écrirai  Dorénavant  Sur le tas  Ne m’éloignerai  Pas ce que Je suis  Tant que   Les vitrines   De mon  Paraître  J’essuie  En amont Ce souffle  De confiance  Que je me Bats doucement Pour y mettre Un brin de soleil  Dans ma  Part de nuage J’avance  Car sûrement Le temps  Est l’image   De la rose  Elle ... Lire la suite »

Les archives des commentaires poétiques de Mohamed Salah Ben Amor :33–Les poèmes de Patrice Merelle:33-1: D’un lit de larmes

  Je suis né entre les hommes, d’un lit de larmes, Je me suis piqué aux épines de la vie, J’ai pris des trains qui sont entrés dans ma vie, Comme on sort d’un sommeil frustré !   Je suis né parmi les hommes, d’un lit de larmes, J’ai respiré l’air vicié de mes propres envies, J’ai pris des vols ... Lire la suite »

Les archives des commentaires poétiques de Mohamed Salah Ben Amor :31–Les poèmes de Didier Hippon: 31-16 :Celui

  Celui Ce sans Océan Échéant Se parlant Se martyrisant Ce fut saisissant De part Et d’autre J’ai été rempart De l’absence Lasse D’une routine Pesante Lourde En comptine De l’échine De mes mots J’ai été sans mot Mot à mot J’ai dix mots De cette joie En liesse Je me confesse Sans cesse Sans duchesse Sans déesse Je m’affaisse  ... Lire la suite »

Les archives des commentaires poétiques de Mohamed Salah Ben Amor :32–Les poèmes de Mohammed Derkaoui :32-8:Schizophrénie

  Des mots.. Défilent avec son haleine grisâtre. Lui disent qu’il est génie, ces mots de génies. Des gestes embastillent son être, son être prédéfini. Des gestes que tant d’ancêtres ont réitérés ; tant d’éclairés ont bannis avec des sèmes de mots infinis. Magnéto des jours qui courent , Il ressasse son être par ces infinis, fige son être façonné. Des mots et des gestes ... Lire la suite »

Suzanne Ibrahim se vêtit d’espoir dans son recueil Un chemin blanc « poèmes suédois » par : Deema Al–Khatib -Journal “Tachrine”- Damas –Syrie

  La dimension humaine gravite dans une orbite existentielle et revêt un caractère mystique sans  se couper de la réalité. Ce sont les zones de la beauté universelle capable de dépasser tous les fossés et toutes les frontières y compris la langue elle-même et les données de la différence culturelle. La poétesse syrienne Suzanne Ibrahim,  la fille bienfaisante digne de ... Lire la suite »