Comme j’aurais aimé qu’il pleuve à verse par : Lubna Charara Bazzi – poétesse libanaise résidant à Dearborn–USA 11 mai 2021 Comme j’aurais aimé qu’il pleuve à verse Et que toi et moi nous marchions tels des nuages pluvieux errants Puis nous déverserions sur la terre de l’envie ardente et de l’amour Et y ferions pousser des jasmins ! Comme j’aurais aimé qu’il pleuve à verse Et que moi et toi nous marchions sans but Dans les propos de l’infini Moi voguant dans tes yeux Sans voiles Et toi me couvrant de l’ombre de tes mains Et m’habillant d’un manteau d’amour passionné Je marcherais…marcherais alors joyeuse ! Comme j’aurais aimé qu’il pleuve à verse Que tu me portes comme une hirondelle mouillée Que je fredonne une chanson composée des lettres de ton nom Tandis que toi tu accomplirais avec moi la danse de la passion Puis nous errerions, nous errerions Sans savoir quel espace traverser: Sans savoir quel espace traverser Ni quel destin nous unit ! 2021-05-11 Mohamed Salah Ben Amor Partager ! tweet