Les bruits courent par :Arezki Hatem – Beni Douala -Tizi Ouzou -Algérie

Arezki Hatem

 

Dans la ville au tristes décors

Qu’une symphonie se jouera

Sous d’épais décombres

Aux premiers vagissements de l’aube

Éphémère répit pour les fumeurs des cendres

Des âtres sans âmes et sans ombres

Où pour seul convive

Un homme sans voix et sans cambre

Car dans la ville orpheline de son ambre

Les narines sont cernées de cendres

Et l’ouïe sombre sous les chants des tombes...

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