Je me souviens

Souvenirs de l’époque du mouvement « L’avant-garde littéraire tunisien » :Qui déplumait l’autre ?

En 1972, S.A, un professeur d’enseignement secondaire en histoire qui avait fait ses études supérieures au Caire (Egypte) et que j’avais connu une année auparavant au journal « el Ayyam »(Les Jours )où il rédigeait une rubrique sous le titre « Connais votre patrie arabe », dans laquelle il présentait chaque fois un pays arabe, a décidé un jour après ... Lire la suite »

« L’Opinion », la revue culturelle qui avait obtenu l’agrément mais n’avait jamais paru ! par :Mohamed Salah Ben Amor

  Ma première nomination dans l’enseignement secondaire était en novembre 1972 au collège secondaire de Kerkennah, un archipel situé à 20 kms de la ville de Sfax au sud-est du pays. J’y étais complètement coupé de la vie culturelle .Un jour, j’avais reçu cette lettre de la part de l’écrivain et peintre tunisien d’Avant-garde Mahmoud Tounsi (1944 -2001) dans laquelle ... Lire la suite »

La seule fois où j’ai rencontré le grand journaliste et homme de lettres tunisien Hédi Labidi (1911 -1985 )par :Mohamed Salah Ben Amor

  Un jour en 1971 , moi et mon ami feu Hassine Loued à l’époque où nous étions étudiants à la faculté des lettres et sciences humaines de Tunis, avions eu l’idée de publier quelques uns de nos textes dans la page culturelle du journal « Essabah » (le Matin ) intitulée « La culture et la littérature » et supervisée par le rédacteur en chef ... Lire la suite »

Qui est le fondateur de la ligue de la Nouvelle Plume à Tunis ? par : Mohamed Salah Ben Amor

  La ligue  de la Nouvelle Plume était une association littéraire de tendance militante non-autorisée par les autorités coloniales qui avait été créée aux débuts des années cinquante  à Tunis et regroupait des poètes et écrivains tunisiens et algériens dont les membres les plus connus étaient les Tunisiens Maouer Smadeh, Chedli Zoukar, Ali Chalfouh et les Algériens Mohamed el Akhdhar ... Lire la suite »

La poétesse tunisienne Imène Amara et l’absence de confiance en ses capacités créatrices par : Mohamed Salah Ben Amor

  La poétesse tunisienne Imène Amara se caractérise par une absence presque totale de confiance en ses capacités créatrices. Elle me disait toujours : « Qui suis-je en comparaison de tels poètes ou telles poétesses ? ». Un jour, j’ai préparé un dossier sur cette poétesse comportant une présentation critique de son expérience poétique et un choix de ses poèmes ... Lire la suite »

Ce que nous avions appris des hommes de plume tunisiens qui nous avaient précédés et que nous avions connus de leur vivant par :Mohamed Salah Ben Amor

  Ayant fait mon entrée au milieu littéraire tunisien en tant que critique en 1967 alors que je n’avais que dix-huit ans, j’avais eu la chance de rencontrer la plupart des grands poètes et écrivains des années vingt , trente et quarante et de parler avec eux dont Tahar Qassar, Jalaleddine Naccache, Mohamed Hlioui, Ahmed Loghmani, Sadok Mazigh, M’hamed Marzougui, ... Lire la suite »

L’avion fou ! …par :Mohamed Salah Ben Amor

  Quelques jours avant mon dernier voyage en Allemagne que j’ai effectué le 23 septembre 2018, j’ai fait part ici de ma stupeur devant la hausse du prix du billet d’avion Tunis-Francfort, de 400 dinars tunisiens en 2016 à 800 dinars. L’un de nos amis a alors réagi à ce mot en me suggérant de voir le prix du même ... Lire la suite »

Pourquoi les régimes en place de l’Europe de l’Est avaient-ils chuté à la fin des années quatre-vingt ?:l’exemple de la Pologne (2) par :Mohamed Salah Ben Amor

Dès que nous avions mis les pieds hors de l’aéroport et pris le bus pour aller au centre ville( en août 1979 : voir la première partie de cet article) , nous avions été surpris par le prix du billet du bus qui était cinq fois moins cher qu’en Tunisie. Puis devant le premier hôtel que nous avions trouvé sur ... Lire la suite »

Pourquoi les régimes en place de l’Europe de l’Est avaient-ils chuté à la fin des années quatre-vingt ?:l’exemple de la Pologne (1) par :Mohamed Salah Ben Amor

  Pendant les années soixante-dix, la situation politique , économique et sociale  en Tunisie était explosive ( mais objectivement beaucoup moins que maintenant )et elle avait  été couronnée le 26 janvier 1978 par des évènements sanglants qui avaient fait plus de 400 morts, la plupart d’entre eux étaient des marginaux .En cette période, j’étais professeur d’enseignement secondaire au lycée de ... Lire la suite »