Les conclusions et les recommandations formulées à la fin du deuxième colloque de la maison Ichraq éditions et de la revue « Culminances » sur « les créateurs disparus qui se sont distingués avec un seul ouvrage en Tunisie » qui s’est tenu le samedi 5 janvier 2019 matin à 9 h au club de l’Association des Anciens élèves de l’Ecole Sadiki à Tunis

Les conclusions :
1 – La création ne se mesure pas en terme de quantité car l’œuvre littéraire ou artistique quelle que soit sa taille peut être de haute qualité comme celles de Victor Hugo et de Najib Mahfoudh et le seul roman laissé par Alain Fournier Le grand Meaulnes ou médiocre comme il y en plein partout dans le monde.
2- L’idéal pour un écrivain ou un poète ou un artiste est d’allier la qualité et la qualité.
3-cLes interventions sur les six ouvrages étudiés dans ce colloque ont montré qu’ils sont tous d’un haut niveau littéraire. Mais cette conclusion ne peut être généralisée à tout livre seul laissé par n’importe quel auteur.
Les recommandations :
1 -Sensibiliser les traducteurs tunisiens à l’importance de traduire le recueil de poésie « Poèmes d’un maudit de Mario Scalisi et faire les démarches nécessaires auprès des autorités tunisiennes compétentes pour accorder à ce poète la nationalité tunisienne à titre symbolique en reconnaissance du rôle qu’il a joué en tant que poète dans la lutte nationale pour l’indépendance.
2- Exhorter les héritiers des سهء autres poètes et écrivains à faire paraître une deuxième édition des ouvrages qu’ils ont laissés vu leur haute valeur littéraire et y ajouter les éventuels textes manuscrits qu’ils auraient laissés ,tout en les séparant des textes existants afin de respecter le choix que les auteurs ont fait lorsqu’ils ont préparé leurs livres à l’impression .

 

 

Répondre

Votre adresse email ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont marqués d'une étoile *

*